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mercredi, août 22, 2007

NANARD KOUCHNER AU CLUB DU BILDERBERG




Bilderberg 2007: bienvenue dans la clique des lunatiques

21-05-2007

En 1954, les hommes les plus puissants de la planète se rencontraient pour la première fois sous les auspices de la couronne royale néerlandaise et de la famille Rockefeller dans le luxueux Hôtel Bilderberg de la petite ville hollandaise d'Oosterbeck. Pendant tout un week-end, ils discutèrent de l'avenir du monde. Lorsque cela fut terminé, ils décidèrent de se rencontrer une fois par an pour échanger des idées et analyser les affaires internationales. Ils se sont baptisés le Club de Bilderberg. Depuis lors, ils se sont réunis tous les ans dans un hôtel luxueux quelque part dans le monde pour décider du futur de l'humanité.

En plus de cinquante ans de rencontres rassemblant puissance et argent sans précédent au même endroit et en même temps, jamais aucune information n'a filtré quant aux sujets débattus lors des rencontres du Club de Bilderberg. Le Bilderberg, l'une des organisations secrètes la plus puissante du monde est gérée à partir d'un bureau de 18m², où il y a un seul employé, utilisant une seule ligne téléphonique et un seul numéro de fax. Il n'y a pas de site web et pas de plaque en laiton sur la porte. La presse indépendante n'a jamais eu la permission d'y pénétrer et aucune déclaration n'a jamais été publiée sur les conclusions des participants, ni aucun ordre du jour d'une rencontre de Bilderberg n'a été rendu public. Comment, cela peut-il être possible lorsque la liste des membres d'élite du Bilderberg comprend tous les individus les plus puissants qui dirigent le monde ?

Les dirigeants du Club de Bilderberg soutiennent que cette discrétion est nécessaire pour permettre aux participants aux débats de parler librement sans être enregistrés ou rapportés publiquement. Autrement, déclarent les Bilderbergers, ils seraient forcés de s'exprimer dans le langage des communiqués de presse. Sans aucun doute, cette discrétion permet au Club de Bilderberg de délibérer plus librement, mais cela ne répond pas à la question fondamentale : de quoi ces personnes les plus puissantes du monde parlent-elles dans ces rencontres ?

Tout système démocratique moderne protège le droit à la vie privée, mais le public n'a-t-il pas le droit de savoir de quoi leurs dirigeants politiques parlent lorsqu'ils rencontrent les dirigeants d'entreprises les plus riches de leurs pays respectifs ?

Quelles garanties les citoyens ont-ils que le Club de Bilderberg n'est pas un centre de trafic d'influence et de lobbying si on ne leur permet pas de savoir de quoi leurs représentants parlent aux réunions secrètes du Club ? Pourquoi le Forum Economique Mondial de Davos et les rencontres du G8 sont rapportés dans tous les journaux, où ils sont couverts en unes, avec des milliers de journalistes qui y participent, alors que personne ne couvre les rencontres du Club de Bilderberg, même si y participent tous les ans les présidents du Fonds Monétaire International, de la Banque Mondiale , de la Réserve Fédérale , des 100 plus puissantes entreprises du monde, telles que DaimlerChrysler, Coca Cola, British Petroleum, Chase Manhattan Bank, American Express, Goldman Sachs, Microsoft, les vice-présidents des Etats-Unis, les directeurs de la CIA et du FBI, les secrétaires généraux de l'Otan, des sénateurs américains et des membres du Congrès, des Premiers ministres européens et des leaders de partis d'opposition, des rédacteurs en chef de premier plan et des directeurs des principaux journaux du monde. Il est surprenant qu'aucun titre des grands groupes de médias ne considère que le rassemblement de telles personnalités, dont la fortune excède de loin la richesse combinée de tous les citoyens des Etats-Unis, ne vaille la peine d'être rapporté alors que le moindre voyage de n'importe lequel d'entre eux fait les gros titres des infos à la télé.

Les délégués au Bilderberg 2007 - Istanbul, Turquie, du 31 mai au 3 juin

La délégation de cette année comprendra une fois de plus tous les hommes politiques, hommes d'affaires, banquiers centraux, commissaires européens et patrons de la grande presse occidentale les plus importants. Ils seront rejoints à la table par les principaux représentants de la royauté européenne, menée par la Reine Beatrix , fille du fondateur du Bilderberg et ancien Nazi, le Prince Bernhard des Pays-Bas, et le Président du Bilderberg, le Belge Etienne Davignon, vice-président de Suez-Tractebel. Selon la liste du Comité Exécutif à laquelle l'auteur de cet article a eu accès, les noms suivants ont été confirmés comme participants officiels du Bilderberg pour la conférence de cette année (Par ordre alphabétique) :

George Alogoskoufis, Ministre de l'Economie et des Finances (Grèce) ; Ali Babacan, Ministre des Affaires Economiques (Turquie) ; Edward Balls, Secrétaire Economique au Trésor (Roy.-Uni) ; Francisco Pinto Balsemão, PDG d'IMPRESA, S.G.P.S. et ancien Premier ministre (Portugal ); José M. Durão Barroso, Président de la Commission Européenne (Portugal/International) ; Franco Bernabé, Vice-président de Rothschild Europe (Italie) ; Nicolas Beytout, Directeur de la publication du Figaro (France) ; Carl Bildt, ancien Premier ministre (Suède) ; Hubert Burda, Editeur et Directeur Général de Hubert Burda Media Holding (Belgique) ; Philippe Camus, Directeur Général d'EADS (France ) ; Henri de Castries, Président du Directoire et Directeur Génral d'AXA (France) ; Juan Luis Cebrian, Grupo PRISA media group (Espagne) ; Kenneth Clark, Membre du Parlement (Roy.-Uni) ; Timothy C. Collins, PDG de Ripplewood Holdings, LLC (Uetats-Unis) ; Bertrand Collomb, Président de Lafarge (France); George A. David, Président de Coca-Cola H.B.C. S.A. (Etats-Unis) ; Kemal Dervis, Administrateur de UNDP (Turquie) ; Anders Eldrup, Président de DONG A/S (Danemark) ; John Elkann, Vice-président de Fiat S.p.A (Italie); Martin S. Feldstein, PDG du National Bureau of Economic Research (Etats-Unis) ; Timothy F. Geithner, PDG de la Federal Reserve Bank of New York (Etats-Unis) ; Paul A. Gigot, Rédacteur en chef de la page éditoriale du Wall Street Journal (Etats-Unis) ; Dermot Gleeson, Président de AIB Group (Irlande) ; Donald E. Graham, PDG de Washington Post Company (Etats-Unis) ; Victor Halberstadt, Professeur d'Economie à l'Université de Leiden et ancien Secrétaire Général des Rencontres du Bilderberg (Pays-Bas) ; Jean-Pierre Hansen, Directeur Général de Suez-Tractebel S.A. (Belgique) ; Richard N. Haass, Président du Council on Foreign Relations (Etats-Unis) ; Richard C. Holbrooke, Vice-président de Perseus, LLC (Etats-Unis) ; Jaap G. Hoop de Scheffer, Secrétaire Général de l'OTAN (Pays-Bas/International) ; Allan B. Hubbard, Assistant du Président pour la Politique Economique , Directeur du National Economic Council (Etats-Unis) ; Josef Joffe, Directeur de la publication-Rédacteur en chef de Die Zeit (Allemagne) ; James A. Johnson, Vice-président de Perseus, LLC (Etats-Unis) ; Vernon E. Jordan, Jr., Directeur Général de Lazard Frères & Co. LLC (Etats-Unis) ; Anatole Kaletsky, Rédacteur libre au Times (Roy.-Uni) ; John Kerr of Kinlochard, Président adjoint de la Royal Dutch Shell plc (Pays-Bas) ; Henry A. Kissinger, Président de Kissinger Associates (Etats-Unis) ; Mustafa V. Koç, Président de Koç Holding A.S. (Turquie) ; Fehmi Koru, journaliste à Yeni Safek (Turquie) ; Bernard Kouchner, Ministre des Affaires Etrangères (France) ; Henry R. Kravis, Associé fondateur de Kohlberg Kravis Roberts & Co. (Etats-Unis) ; Marie-Josée Kravis, Membre du Comité de Direction de l'Hudson Institute, Inc. (Etats-Unis) ; Neelie Kroes, Commissaire, Commission Européenne (Pays-Bas/International) ; Ed Kronenburg, Directeur du Bureau Privé du siege de l'OTAN (International) ; William J. Luti, Assistant special du Président pour la Politique et la Stratégie de Défense du National Security Council (Etats-Unis) ; Jessica T. Mathews, Présidente du Carnegie Endowment for International Peace (Etats-Unis) ; Frank McKenna, Ambassadeur auprès des Etats-Unis, membre du Carlyle Group (Canada) ; Thierry de Montbrial, Président de L'Institut Français des Relations Internationales (France) ; Mario Monti, Président de l'Université Commerciale Luigi Bocconi (Italie) ; Craig J. Mundie, Directeur Technique des Stratégies Avancées et de la Politique de Microsoft Corporation (Etats-Unis) ; Egil Myklebust, Président de SAS, Norsk Hydro ASA (Norvège) ; Matthias Nass, Rédacteur en chef adjoint de Die Zeit (Allemagne) ; Adnrzej Olechowski, Dirigeant de la Plate-forme Civique (Pologne) ; Jorma Ollila, Président de Royal Dutch Shell plc/Nokia (Finlande); George Osborne, Chancelier de l'Echiquier du Gouvernement Fantôme (Roy.-Uni) ; Tommaso Padoa-Schioppa, Ministre des Finances (Italie) ; Richard N. Perle, Membre Résident de l'American Enterprise Institute for Public Policy Research (Etats-Unis) ; Heather Reisman, PDG de Indigo Books & Music Inc. (Canada); David Rockefeller (Etats-Unis) ; Matías Rodriguez Inciarte, Vice-Président et Directeur Général de Grupo Santander Bank (Espagne) ; Dennis B. Ross, Directeur du Washington Institute for Near East Policy (Etats-Unis) ; Otto Schily, ancien Ministre des Affaires Etrangères et Membre du Parlement, Membre de la Commission des Affaires Etrangères (Allemagne) ; Jürgen E. Schrempp, ancien Président de DaimlerChrysler AG (Allemagne) ; Tøger Seidenfaden, Directeur de la Publication de Politiken (Danemark) ; Peter D. Sutherland, Président de BP plc et Président de Goldman Sachs International (Irlande) ; Giulio Tremonti, Vice-président de la Chambre des Députés (Italie) ; Jean-Claude Trichet, Gouverneur de la Banque Centrale Européenne (France/International) ; John Vinocur, Correspondant senior de l'International Herald Tribune (Etats-Unis) ; Jacob Wallenberg, Président d'Investor AB (Suède) ; Martin H. Wolf, Rédacteur en chef associé et commentateur économique du Financial Times (Roy.-Uni) ; James D. Wolfensohn, Envoyé Spécial pour le Désengagement de Gaza (Etats-Unis) ; Robert B. Zoellick, Président de la Banque Mondiale et ancien Secrétaire d'Etat adjoint (Etats-Unis) ; Klaus Zumwinkel, Président du Deutsche Post AG (Allemagne) ; Adrian D. Wooldridge, Correspondant de The Economist.

Parmi les noms qui apparaissent sur la liste initiale des invités, à laquelle ce journaliste a eu accès en janvier 2007, ressortent les noms de John Brown, à présent en état de disgrâce, Directeur Général de British Petroleum, et l'ancien chef de la Banque Mondiale , viré et en état de disgrâce, Paul Wolfowitz. Il sera intéressant de voir si l'un ou l'autre de ces hommes fera une apparition au Bilderberg 2007. Cela ne gêne pas les Bilderbergers d'accueillir des malfaiteurs au sein de leur cercle tant que leurs mauvaises actions restent hors des projecteurs et du regard scrutateur du public. Une fois exposés, les coupables sont généralement rejetés. Lord Conrad Black, l'ancien directeur général du groupe de médias Hollinger est, en fait, un de ces cas.

Deux autres noms de la liste originale de janvier 2007 devraient nous faire hausser les sourcils. L'un d'eux est Bernard Kouchner, le tout nouveau Ministre français des Affaires Etrangères du gouvernement de droite de Nicolas Sarkozy. Kouchner est l'ancien fondateur de l'ONG Médecins Sans Frontières. Il était absent du Bilderberg 2006 à Ottawa, au Canada. Son poste au gouvernement a-t-il pu être arrangé avant les élections nationales françaises ? A mon avis, la palme de l'apparition surprise de l'année devrait revenir à Mahmood Sariolghalam, Professeur associé de Relations Internationales à l'Ecole des Sciences Economiques et Politiques de l'Université Nationale d'Iran. Qu'est-ce qu'un Iranien peut bien venir faire à une conférence de Bilderberg contrôlée par une alliance de l'OTAN ? Nous le aurons bien assez tôt. Le Bilderberg 2007 est certainement le bon moment pour regarder ce qui se passe en coulisse.

De quoi parlera-t-on au Bilderberg 2007 ?

A côté du bourbier en Irak, les problèmes d'énergie continuent de dominer les discussions du Bilderberg. Le pétrole et le gaz naturel sont des ressources finies non renouvelables. Une fois utilisées, elles ne peuvent être reconstituées. Au fur et à mesure que le monde tourne et que les ressources de pétrole et de gaz naturel se réduisent nous avons dépassé la moitié des possibilités de production et de découverte de pétrole. En effet, alors que la demande explose spectaculairement, en particulier avec les économies indienne et chinoise en plein essor qui veulent tous les accessoires et les privilèges de la manière de vivre des Américains, nous découvrons moins de pétrole que nous en produisons. A partir de maintenant, la seule chose qui est sûre est que l'offre continuera de baisser et que les prix continueront de monter. Dans ces conditions, un conflit mondial est une certitude physique. La fin du pétrole signifie la fin du système financier mondial, une chose qui a déjà été reconnue par le Wall Street Journal et le Financial Times, deux membres à plein temps du cercle d'initié du Bilderberg. Le rapport de Goldman Sachs sur le pétrole [un autre membre à plein temps de l'élite du Bilderberg], publié le 30 mars 2005, a augmenté la fourchette de prix du pétrole pour l'année 2005-2006 de $55-$80 le baril à $55-$105. Lors de la rencontre de 2006, les Bilderbergers ont confirmé que leur estimation du haut de la fourchette de prix pour le pétrole, pour 2007-2008, continue d'osciller entre $105-$150/le baril. Il n'est pas étonnant que Jose Barroso, le Président de la Commission Européenne , ait annoncé il y plusieurs mois, lors de l'annonce de la nouvelle politique européenne en matière d'énergie, que le temps d'une "ère post-industrielle" est venue. Pour conduire le monde dans l'ère post-industrielle, il faut d'abord détruire la base économique du monde et créer une nouvelle Grande Dépression. Lorsque les gens sont pauvres, ils ne dépensent pas d'argent, ils ne voyagent pas et ils ne consomment pas.

Tandis que l'impact économique fait son chemin et que les effets secondaires du Pic Pétrolier deviennent évidents en face de l'effondrement de la civilisation, les Etats-Unis seront obligés de défier l'Europe, la Russie et la Chine pour l'hégémonie du contrôle des ressources non renouvelables des hydrocarbures en réduction constante, dont la plus grande partie se trouve au Proche-Orient. Ce sera le point numéro deux de l'ordre du jour du Bilderberg 2007.

Le troisième point de l'ordre du jour est les relations européennes avec la Russie , pas seulement en Europe, mais aussi en Asie Centrale. Avec Moscou qui a passé un accord avec le Kazakhstan et le Turkménistan pour le transport de gaz vers l'Europe, l'objectif géostratégique des Etats-Unis de monter les pays d'Asie Centrale contre la Russie est un désastre. Tandis que les Etats-Unis disent que ceci "n'est pas bon pour l'Europe", les Européens sont divisés. L'Iran est devenu du jour au lendemain le dernier espoir de l'Amérique dans la guerre de l'énergie.

La guerre d'Iran, après deux années où le gouvernement Bush a monté toute une histoire n'est définitivement plus sur le tapis. Qui plus est, avec la France , la Russie , le Japon et la Chine qui investissent lourdement en Iran, le monde a tiré une ligne dans le sable et il sera dit aux Etats-Unis de ne pas la franchir. Il y a du sang dans l'eau et le sang dans l'eau conduit habituellement à un bon combat.

Néanmoins, les Etats-Unis ont besoin de contrôler cette région, non seulement pour leurs réserves de pétrole mais, ce qui plus important, pour aider à maintenir leur hégémonie économique sur le monde. Selon ce plan stratégique, les Etats régionaux seront transformés en domaines affaiblis de Cheiks sectaires avec peu ou aucune souveraineté et cela signifie un programme misérable de développement économique. Le chaos régional favorise la propagation du fondamentalisme islamique, qui, à son tour, renforce le processus de la désintégration politique et sociale soutenue par les Bilderbergers.

Avec Blair qui s'en va, le Royaume-Uni se verra dire une fois encore qu'il doit, quel qu'en soit le coût, faire ce qui est nécessaire pour intégrer le pays dans la Communauté Européenne.

Enf in, avec Wolfowitz qui a démissionné de la Banque Mondiale , les sommités du Bilderberg essayeront d'arriver à un consensus sur la manière de restructurer le mieux, non seulement la banque, mais son organisation sœur, le Fonds Monétaire International (FMI), dirigé par un Espagnol, Rodrigo Rato. Wolfowitz a été pris dans la controverse il y a sept semaines après que des dénonciateurs à la Banque Mondiale ont remis à l'ONG de Washington, Government Accountability Project (GAP), des documents montrant que Wolfowitz a accordé une grosse augmentation de salaire à sa petite amie lors d'un accord de détachement au Département d'Etat américain.

Nous, en tant que société, sommes à la croisée des chemins. Dans presque tous les coins de la planète, des points de tension commencent à se fracturer. Les routes que nous prendrons à partir de maintenant détermineront le futur-même de l'humanité. Ce fut l'ancien Premier ministre britannique, Benjamin Disraeli, qui déclara que "le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qu'imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses".

Il n'est pas du ressort de Dieu de nous faire revenir au "nouvel âge obscur" qui est prévu pour nous. C'EST DE NOUS QUE CELA DEPEND. Que nous entrions dans ce nouveau siècle avec un Etat policier électronique mondial ou comme êtres humains libres dépend de l'action que nous prenons maintenant ! Un homme averti en vaut deux. Nous ne trouverons jamais les bonnes réponses si nous ne posons pas les bonnes questions.